Gestion intégrée de l’eau par bassin versant - Québec accorde une aide financière au comité de bassin de la rivière Chaudière

Québec, le 1er septembre 2010. – Au nom du ministre du Développement durable, de l’Environnement et des Parcs, M. Pierre Arcand, le ministre des Affaires municipales, des Régions et de l’Occupation du Territoire, et responsable de la région de la Chaudière-Appalaches, M. Laurent Lessard, a annoncé qu’une aide financière de 124 500 $ est accordée au Comité de bassin de la rivière Chaudière (COBARIC) pour l’année 2010-2011.

Le ministre Lessard en a profité pour souligner que le COBARIC avait reçu l’acceptation gouvernementale de son plan directeur de l’eau. Pièce maîtresse de la gestion intégrée de l’eau par bassin versant, le plan directeur de l’eau du COBARIC présente le portrait du bassin versant, de même que les défis, les objectifs et les orientations qui dirigeront ses actions au cours des prochaines années.

Rappelons qu’avant l’annonce du redécoupage du Québec méridional en 40 zones de gestion intégrée de l’eau, en mars 2009, le financement annuel accordé à cet organisme de bassin versant (OBV) était de 65 000 $.

« Je me réjouis de cette aide financière, qui permettra au COBARIC de continuer son travail afin d’assurer, dans une perspective de développement durable, une saine gouvernance de l’eau et de mieux connaître cette ressource. Les projets proposés par cet organisme tiennent d’ailleurs compte des préoccupations régionales formulées par les milieux économique, communautaire, agricole et municipal, auprès desquels l’OBV joue un rôle essentiel », a déclaré le ministre Lessard.

Pour sa part, le ministre Arcand a fait savoir que « le gouvernement du Québec croit fermement à l’importance de se doter d’outils permettant une gestion durable de l’eau. Voilà pourquoi le financement annuel de l’ensemble des organismes de bassin versant a plus que doublé, s’élevant maintenant à 5 220 000 $. Nous savons que la gestion intégrée de l’eau par bassin versant est la meilleure approche pour assurer la concertation de tous les acteurs de l’eau, concertation qui est l’élément clé d’une saine gouvernance de cette ressource essentielle à la vie ».