Québec attribue plus de 100 000 $ au conseil régional de l'environnement de l'Abitibi-Témiscamingue

Val-d’Or, le 25 avril 2008 – Au nom de la ministre du Développement durable, de l'Environnement et des Parcs, M^me Line Beauchamp, le ministre du Travail et ministre responsable de la région de l’Abitibi-Témiscamingue,  M.  David Whissell, a annoncé aujourd’hui l’attribution au Conseil régional de l’environnement de l’Abitibi-Témiscamingue d’une aide financière dans le cadre du Programme de soutien à la mission des Conseils régionaux de l’environnement (CRE) pour l’année 2008-2009.

Cette subvention s’élève à 105 000 $, soit 10 000 $ de plus qu’en 2007-2008. Globalement, depuis deux ans, cette aide a crû de 24 %. « Nous encourageons ainsi la préservation de l’environnement dans notre belle région, ce qui favorise, entre autres, une utilisation optimale de nos ressources naturelles dans la perspective du développement durable », a déclaré le ministre Whissell. La présidente du Conseil régional de l’environnement de l’Abitibi-Témiscamingue, madame Jacinthe Châteauvert, est heureuse de cette marque de reconnaissance pour tout le travail accompli en région par le CREAT. Comme l’ampleur de la tâche et des défis à relever reste considérable, elle espère que cet appui continuera de croître au cours des prochaines années.

Le Conseil régional de l’environnement de l’Abitibi-Témiscamingue est un organisme communautaire au sens de la politique gouvernementale de reconnaissance et de soutien de l’action communautaire intitulée L’action communautaire : Une contribution essentielle à l’exercice de la citoyenneté et au développement social. Ce conseil respecte tous les critères propres au Ministère, dont l’un d’eux exige qu’un organisme ait pour mission l’action environnementale dans une perspective de développement durable. Il fait partie du Regroupement national des conseils régionaux de l’environnement du Québec (RNCREQ). « Cet argent permettra à votre conseil de poursuivre sa mission afin de mieux préserver l’environnement au bénéfice des générations actuelles et de demain », a conclu M^me Beauchamp.